« Je suis ouvrier et nous arrivons juste à joindre les deux bouts à la fin du mois. Malgré ces difficultés, j’ai décidé d’adhérer à votre projet. J’ai commencé l’été 2002, à la naissance de ma fille. Son arrivée m’a donné une joie immense et j’ai pensé qu’un petit geste pouvait permettre de rendre heureux un autre enfant. Je me suis dit : «Qui sait, au moment où elle voit le jour, combien d’enfants naissent dans le monde, privés de soins ou d’affection…»Il ne me semblait pas juste que le fait d’être né d’un côté ou de l’autre de la planète détermine l’avenir d’un enfant. J’ai la chance d’habiter dans un pays où on peut vivre dignement, même si c’est au prix de quelques sacrifices, et je sens qu’il est de mon devoir d’aider ceux qui n’ont pas cette chance… » D. N.